Sécurité site internet : 15 bonnes pratiques essentielles pour protéger votre activité

Introduction : la sécurité de votre site n’est plus optionnelle

La sécurité de votre site internet n’est plus optionnelle. En 2023, la plateforme gouvernementale Cybermalveillance.gouv.fr a reçu plus de 282 000 demandes d’assistance liées à des attaques numériques, avec une forte hausse des piratages de comptes, des rançongiciels et des attaques visant les sites professionnels (défigurations, dénis de service, etc.). (cybermalveillance.gouv.fr)

Dans le même temps, le ministère de l’Intérieur estime à 348 000 le nombre d’atteintes numériques enregistrées en 2024 en France, soit une hausse de 74 % en cinq ans. (interieur.gouv.fr) Un site mal protégé n’est donc plus seulement un problème technique : c’est un risque direct pour votre chiffre d’affaires, votre réputation, votre référencement Google et votre conformité au RGPD.

Ce guide vous propose 15 bonnes pratiques concrètes pour renforcer la sécurité de votre site web, que vous soyez indépendant, TPE/PME, association ou collectivité. L’objectif : comprendre les risques, mettre en place des protections simples et savoir quand faire appel à des professionnels comme Sharp Articles pour sécuriser l’ensemble.

Comprendre les risques qui pèsent sur un site web

Des attaques en forte hausse en France

Les chiffres officiels montrent une banalisation des cyberattaques. Les petites structures et sites vitrines sont particulièrement exposés : ils sont souvent moins protégés, donc plus faciles à cibler. Cybermalveillance.gouv.fr observe notamment une forte progression des attaques sur les sites professionnels : défigurations (remplacement de la page d’accueil par un message pirate), dénis de service ou encore vol de données clients. (cybermalveillance.gouv.fr)

Les rançongiciels repartent également à la hausse : en 2023, la plateforme a enregistré 2 782 demandes d’assistance liées à ce type d’attaque, un record sur quatre ans et une hausse de 12 % par rapport à 2022. (cybermalveillance.gouv.fr) Ces attaques bloquent totalement l’accès à vos données et vos systèmes en échange d’une rançon, avec parfois des pertes définitives.

Conséquences concrètes : finances, image et SEO

Un site piraté peut engendrer des conséquences lourdes :

  • Perte de chiffre d’affaires (site indisponible, tunnel de vente cassé, formulaires inopérants).
  • Atteinte à l’image : messages pirates, contenus choquants, redirections vers des sites frauduleux.
  • Impact sur le référencement : Google affiche des avertissements de sécurité dans les résultats et dans le navigateur, voire retire certaines pages de son index pour protéger les internautes. (support.google.com)
  • Risques juridiques si des données personnelles ou bancaires sont compromises.

Dans certains cas, la chute de trafic organique peut atteindre 70–90 % pendant plusieurs semaines ou mois, le temps que la confiance (utilisateurs et moteurs de recherche) soit reconstruite.

Obligations légales : RGPD et protection des données

Dès lors que votre site collecte des données personnelles (formulaire de contact, création de compte, commande en ligne), vous devez respecter le RGPD et mettre en place des mesures de sécurité adaptées. La CNIL rappelle que tout site web doit garantir l’authenticité du site et la confidentialité des données échangées, notamment via le protocole TLS (HTTPS) et des développements sécurisés. (cnil.fr)

Cela implique, entre autres :

  • Un chiffrement des échanges (HTTPS partout).
  • Des mots de passe robustes et une gestion stricte des accès.
  • Des sauvegardes régulières et testées.
  • Une réduction des failles applicatives (injections SQL, XSS, etc.).

Autrement dit : la sécurité de votre site internet est aussi un enjeu légal et de protection des données de vos clients.

15 bonnes pratiques essentielles pour sécuriser votre site internet

1. Choisir un hébergeur et une infrastructure sécurisés

La sécurité commence par l’hébergement. Privilégiez un prestataire qui met en avant :

  • Serveurs à jour et surveillés (patchs de sécurité réguliers).
  • Certificats SSL/TLS gérés correctement.
  • Sauvegardes automatiques et redondées.
  • Protection réseau (pare-feu, filtrage, détection d’attaques). (cnil.fr)

Chez Sharp Articles, les offres de création de site vitrine par abonnement incluent l’hébergement, le nom de domaine, la maintenance et la sécurité. Cela permet de partir sur une base technique saine sans investissement initial lourd.

2. Mettre à jour le CMS, les thèmes et les extensions

WordPress, Joomla, Prestashop… Tous les CMS sont régulièrement corrigés pour combler des failles. La majorité des piratages de sites s’appuient sur des vulnérabilités connues mais non corrigées.

  • Activez les mises à jour automatiques pour le cœur du CMS.
  • Mettez à jour régulièrement thèmes et plugins, en supprimant tout ce qui est inutile ou obsolète.
  • Évitez les extensions non maintenues ou téléchargées hors des répertoires officiels.

Si vous déléguez la maintenance à un prestataire, clarifiez bien qui est responsable des mises à jour et avec quelle fréquence.

3. Forcer le HTTPS sur l’ensemble du site

Le protocole HTTPS chiffre les échanges entre le navigateur et votre serveur. Il est désormais indispensable, même pour un simple site vitrine, pour protéger les formulaires de contact, les identifiants de connexion et toutes les données personnelles.

  • Installez un certificat TLS (via Let’s Encrypt, votre hébergeur, ou un certificat payant).
  • Forcez la redirection HTTP → HTTPS (au niveau serveur ou via la configuration de votre CMS).
  • Vérifiez qu’aucune ressource (image, script) ne charge encore en HTTP, ce qui génèrerait des « contenus mixtes ».

La CNIL recommande explicitement d’utiliser TLS sur toutes les pages où transitent des données personnelles, et même sur l’ensemble du site lorsque c’est possible. (cnil.fr)

4. Renforcer l’authentification et les mots de passe

Les attaques par force brute (test automatisé de milliers de mots de passe) restent très fréquentes, en particulier sur les pages d’administration WordPress.

  • Utilisez des mots de passe longs et uniques pour chaque compte (au moins 12–16 caractères avec lettres, chiffres et symboles).
  • Mettez en place l’authentification à deux facteurs (2FA) pour les comptes administrateurs.
  • Interdisez le partage de comptes (pas de compte « admin » partagé entre plusieurs personnes).
  • Utilisez un gestionnaire de mots de passe pour simplifier le quotidien.

5. Limiter les droits utilisateurs et les accès

Plus un compte dispose de privilèges élevés, plus il est dangereux s’il est compromis. Appliquez le principe du « moindre privilège » :

  • Donnez le rôle administrateur uniquement aux personnes qui en ont réellement besoin.
  • Utilisez des rôles éditeur, auteur ou contributeur pour la rédaction.
  • Fermez immédiatement les comptes des anciens prestataires ou collaborateurs.
  • Limitez l’accès au back-office à certaines adresses IP si possible (whitelisting).

6. Mettre en place des sauvegardes régulières… et testées

Une sauvegarde inutilisable ne sert à rien. Vous devez pouvoir restaurer rapidement votre site en cas de piratage, d’erreur de manipulation ou de panne serveur.

  • Planifiez des sauvegardes automatiques (fichiers + base de données).
  • Stockez au moins une copie hors du serveur principal (cloud, stockage externe, autre hébergeur).
  • Testez périodiquement une restauration complète sur un environnement de préproduction.

Ce point est central : beaucoup de sites ne survivent pas à un piratage simplement faute de sauvegardes valides.

7. Installer un pare-feu applicatif (WAF) et des protections anti-bot

Un WAF (Web Application Firewall) analyse le trafic entrant et bloque de nombreuses attaques courantes (injections, tentatives de connexion massives, scans de failles, etc.).

  • Utilisez un plugin de sécurité intégrant un firewall (sur WordPress par exemple) ou un service en bordure (Cloudflare, Sucuri, etc.).
  • Activez les limitations de tentatives de connexion (login attempts).
  • Filtrez ou challengez les robots suspects (CAPTCHA, règles spécifiques, challenge JavaScript).

Un WAF bien paramétré réduit considérablement le bruit et les attaques automatisées qui ciblent votre site au quotidien.

8. Sécuriser les formulaires et les entrées utilisateurs

Les formulaires de contact, d’inscription ou de commande sont des portes d’entrée privilégiées pour les attaques logicielles (injections SQL, XSS, spam massif…). La CNIL recommande explicitement de se prémunir contre ces attaques en appliquant les bonnes pratiques de développement et en s’appuyant sur le Top 10 OWASP. (cnil.fr)

  • Validez et filtrez toutes les données saisies (côté client et surtout côté serveur).
  • Utilisez des outils anti-spam (CAPTCHA, honeypot, filtrage IP).
  • Limitez les champs aux informations réellement nécessaires (principe de minimisation).

9. Protéger l’accès à l’interface d’administration

La page de connexion à votre back-office est une cible de choix. Quelques mesures simples permettent de la durcir :

  • Changer l’URL de connexion par défaut (par exemple /wp-admin).
  • Limiter le nombre de tentatives de connexion par adresse IP.
  • Empêcher la découverte des comptes (ne pas afficher « utilisateur inconnu » ou « mot de passe incorrect » distinctement).
  • Restreindre l’accès à certaines IP pour les administrateurs, via la configuration serveur.

10. Surveiller les journaux (logs) et les alertes de sécurité

Sans journalisation, vous ne voyez pas réellement ce qui se passe sur votre site. La CNIL recommande la mise en place de systèmes de journalisation des événements pour tracer les opérations sensibles. (cnil.fr)

  • Activez les logs sur votre serveur (accès, erreurs, authentifications).
  • Utilisez un plugin ou une extension qui enregistre les actions dans le back-office (connexions, modifications critiques, nouvelles extensions…).
  • Configurez des alertes (email, console) en cas d’activité anormale : trop de tentatives de connexion, fichiers modifiés, etc.

11. Scanner régulièrement votre site à la recherche de failles et de malwares

Des outils de scans de vulnérabilités et de malwares permettent de détecter des failles ou des fichiers malveillants avant qu’ils ne soient exploités à grande échelle. La CNIL recommande d’utiliser des outils tels que nmap, ZAP ou nikto pour les traitements critiques. (cnil.fr)

  • Programmez des scans automatiques hebdomadaires ou mensuels.
  • Scannez également votre site avant chaque mise en ligne majeure.
  • Surveillez les fichiers système, les nouveaux fichiers et les changements suspects dans votre arborescence.

12. Sécuriser la base de données et les accès serveurs

Un site peut être compromis via la base de données ou via des accès serveurs (FTP, SSH, panneau de contrôle). Quelques réflexes importants :

  • Ne jamais exposer directement la base de données sur Internet.
  • Utiliser des comptes nominatifs, avec des droits limités.
  • Forcer l’usage de protocoles sécurisés (SFTP, SSH) et bannir les accès en clair.
  • Limiter les IP autorisées à se connecter à la base ou au serveur.

13. Préparer un plan de réponse en cas de piratage

Aucun système n’est invulnérable. Le jour où un incident survient, avoir un plan d’action écrit fait gagner un temps précieux et limite les dégâts.

  1. Isoler le site (mettre en maintenance, couper l’accès si nécessaire).
  2. Prévenir votre hébergeur et votre prestataire technique.
  3. Identifier la faille, nettoyer les fichiers et mettre à jour tout le système.
  4. Restaurer une sauvegarde saine si besoin.
  5. Changer tous les mots de passe et révoquer les accès inutiles.
  6. Contrôler Google Search Console (rapport « Problèmes de sécurité ») et demander une réévaluation une fois le site nettoyé. (support.google.com)

14. Sensibiliser les équipes et les prestataires

Un grand nombre d’incidents trouvent leur origine dans une erreur humaine : mot de passe réutilisé, pièce jointe malveillante, clic sur un lien de phishing menant au panneau d’administration, etc.

  • Sensibilisez régulièrement vos équipes aux risques (hameçonnage, rançongiciels, faux supports techniques, etc.). (cybermalveillance.gouv.fr)
  • Encadrez clairement les droits et responsabilités de chaque prestataire.
  • Intégrez dans vos contrats (développeurs, agences) des clauses de sécurité, de confidentialité et de gestion d’incidents.

Une politique de sécurité efficace repose autant sur la technique que sur la sensibilisation des personnes qui utilisent les outils.

15. Intégrer la sécurité dès la conception de votre site (security by design)

La sécurité ne doit pas être un « patch » ajouté après coup, mais un critère de conception dès le début de votre projet web.

  • Choisir une architecture simple et robuste plutôt qu’empiler les plugins.
  • Limiter la collecte de données personnelles au strict nécessaire.
  • Prévoir dès le cahier des charges les exigences de sauvegarde, de journalisation et de mise à jour.

La CNIL parle de « protection des données dès la conception » et recommande d’intégrer la sécurité au plus tôt dans les projets numériques. (cnil.fr) Si vous faites créer votre site par une agence, vérifiez que ces aspects sont bien pris en compte dès le départ.

Tableau récapitulatif : quelles actions de sécurité prioriser ?

Action de sécurité Impact sur le risque Niveau d’effort Fréquence recommandée
Mises à jour CMS / thèmes / plugins Très élevé Faible à moyen Hebdomadaire / après chaque nouvelle version
Activation et forcing du HTTPS Très élevé Faible (configuration ponctuelle) Contrôle à chaque renouvellement de certificat
Sauvegardes automatiques testées Très élevé Moyen (mise en place), faible ensuite Quotidienne ou hebdomadaire selon l’activité
Renforcement mots de passe + 2FA Élevé Faible Revue tous les 6–12 mois et à chaque départ
Limitation des droits utilisateurs Élevé Faible À chaque arrivée/départ de collaborateur
Installation d’un WAF / plugin de sécurité Élevé Moyen Revue des règles tous les 3–6 mois
Scans de vulnérabilités / malwares Élevé Moyen Mensuel + avant mise en production
Journalisation et suivi des logs Moyen à élevé Moyen Suivi continu, audit trimestriel
Plan de réponse à incident documenté Élevé Moyen (rédaction) Mise à jour annuelle
Sensibilisation des équipes Élevé Moyen Sessions au moins 1 fois par an

Comment Sharp Articles peut vous aider à sécuriser votre site

Mettre en place ces 15 bonnes pratiques demande du temps, des compétences techniques et de la rigueur dans la durée. C’est précisément là que l’accompagnement par un prestataire spécialisé fait la différence.

Sharp Articles propose des sites web professionnels par abonnement à partir de 99 € HT/mois (offre One-Page) incluant hébergement, nom de domaine, maintenance, sécurité, mises à jour et suivi du trafic. Les offres Premium et Premium+ permettent de gérer des sites plus complets, avec jusqu’à 15 pages et 25 articles SEO/mois directement publiés sur votre site.

En parallèle, notre formule de création de contenus SEO mensuels (à partir de 25 articles/mois) vous aide à développer un trafic qualifié durable, tout en restant sur une base technique sécurisée et maintenue.

Vous pouvez découvrir notre approche globale sur la page d’accueil de Sharp Articles, ainsi que d’autres conseils sur la sécurité et la performance de votre site sur notre blog dédié au web et au SEO et dans la catégorie « Sites Web ».

Questions fréquentes sur la sécurité d’un site internet

Comment savoir si mon site internet a été piraté ?

Certains signes sont visibles : pages modifiées ou remplacées par un message pirate, redirections vers des sites douteux, pop-ups étranges, formulaire qui disparaît, ralentissements soudains. D’autres indices sont plus discrets : alertes dans Google Search Console (onglet « Problèmes de sécurité »), hausse d’erreurs 404, nouveaux utilisateurs inconnus dans l’administration, fichiers récents aux noms suspects. En cas de doute, changez immédiatement vos mots de passe, activez la mise en maintenance, faites un scan de sécurité et contactez rapidement votre hébergeur ou un prestataire spécialisé pour un audit complet.

HTTPS suffit-il pour sécuriser un site internet ?

Non, HTTPS est nécessaire mais loin d’être suffisant. Le protocole TLS (HTTPS) chiffre les échanges et rassure les internautes, mais il ne protège pas contre les failles applicatives (injections, XSS), les mots de passe faibles, les extensions vulnérables ou les mauvaises pratiques serveur. La CNIL considère HTTPS comme une mesure de base parmi d’autres : journalisation, contrôle des accès, durcissement des serveurs, sauvegardes, scans de vulnérabilités, etc. Pour un site vraiment robuste, voyez HTTPS comme le socle minimal, à compléter par les 15 bonnes pratiques décrites dans cet article.

À quelle fréquence faut-il mettre à jour son site web ?

Idéalement, vous devriez vérifier les mises à jour au moins une fois par semaine pour un CMS comme WordPress, et intervenir plus rapidement en cas de faille critique annoncée. Le cœur du CMS, les thèmes et les extensions doivent être mis à jour régulièrement, de préférence d’abord sur un environnement de test pour les sites à fort enjeu. Planifiez également une revue de sécurité plus globale tous les mois ou tous les trimestres (scans, nettoyage des plugins inutilisés, revue des comptes utilisateurs, etc.). Si vous manquez de temps, confiez cette tâche à un prestataire qui l’inclut dans sa maintenance.

Quel budget prévoir pour sécuriser un site internet professionnel ?

Le budget dépend de la complexité du site et du niveau d’exigence. Certaines mesures sont gratuites (mots de passe forts, 2FA, nettoyage des plugins, utilisation de Google Search Console), d’autres impliquent des coûts récurrents (hébergement de qualité, extensions de sécurité premium, audits ponctuels). Plutôt que de multiplier les dépenses ponctuelles, beaucoup d’entreprises choisissent une formule par abonnement intégrant hébergement, maintenance, sécurité et mises à jour, comme les offres de création de site de Sharp Articles. Vous lissez ainsi le coût dans le temps tout en bénéficiant d’un suivi continu.

Que faire en urgence si mon site est piraté ?

En cas de piratage, réagissez méthodiquement : mettez le site en maintenance ou coupez temporairement l’accès pour éviter d’exposer davantage vos visiteurs. Changez tous les mots de passe (hébergeur, FTP, base de données, administration), contactez votre hébergeur et téléchargez une copie complète des fichiers pour analyse. Si vous disposez d’une sauvegarde saine, préparez une restauration sur un environnement isolé. Une fois le site nettoyé et mis à jour, vérifiez Google Search Console pour corriger les problèmes de sécurité signalés et demandez une réévaluation. Enfin, documentez l’incident et renforcez vos défenses pour éviter une récidive.

Et maintenant, comment passer à l’action ?

La sécurité de votre site internet se joue à deux niveaux : mettre en place les bonnes protections techniques et les maintenir dans le temps. Si vous débutez ou que votre site actuel manque de suivi, c’est peut-être le bon moment pour repartir sur des bases saines avec une offre de site vitrine professionnel sécurisé par abonnement, incluant hébergement, maintenance et sécurité.

Si votre site est déjà en place mais manque de contenu, les formules de blog mensuel de Sharp Articles vous permettent de publier jusqu’à 75 articles SEO par mois, tout en gardant une base technique suivie et à jour. Pour discuter de votre situation, de vos risques et des solutions possibles, vous pouvez nous écrire directement via la page Contact et obtenir un accompagnement adapté à votre projet.